L’ALC Longvic est fière de renouveler son partenariat avec l’Opéra de Dijon afin d’ouvrir le sport à la culture à ses adhérents. Profitez-en pour faire découvrir l’auditorium à vos jeunes !
Ce partenariat permet de pré-réserver des places de spectacles pour les adhérents de l’association et de bénéficier de tarifs préférentiels. Pour les jeunes, quel que soit le spectacle, ce sera toujours : 5.50€ pour les moins de 15 ans et 10€ de 15 à 26 ans !
L’inscription doit se faire minimum 1 mois avant la date du spectacle et les chèques ne seront encaissés qu’une semaine avant le spectacle.
Nous vous remercions de vous rapprocher du centre de ressources de l’ALC Longvic au 03 80 48 08 18 ou contact@alc-longvic.org pour vous inscrire à la visite ou réserver une date de spectacle.
Voici les dates des spectacles en 2025 avec les synopsis ainsi que la date pour la visite de l’Auditorium :
- La Traviata de Giuseppe Verdi : Mardi 11 février 2025 à 20h. Tarif adultes : 25€
Trois ans après le succès de Don Pasquale, Amelie Niermeyer et Melody Louledjian retrouvent l’Opéra de Dijon et posent un regard renouvelé sur le rendez-vous manqué le plus célèbre et le plus émouvant du répertoire. En 1852, la tragédie de La Dame aux Camélias d’Alexandre Dumas (fils) bouleverse intimement Verdi qui s’attèle sur le champ à la composition de son opéra. Il y retrace l’histoire de cet amour interdit entre la « dévoyée » et son amant qui, comme deux funambules tendus l’un vers l’autre, tenteront désespérément de se retrouver tout au long de l’opéra. Mais Violetta et Alfredo ne devraient pas s’aimer. Dans la vision d’Amelie Niermeyer, ils se sont rencontrés dans un hangar désaffecté, au détour d’une soirée clandestine, où les âmes se croisent et, parfois, se reconnaissent. Dans les salons parisiens ou au milieu d’une rave party, le drame profond de La Traviata demeure, immuable et exalté.
- Visite commentée de l’Auditorium (coulisses, backstage…) : Mercredi 26 mars 2025 à 18h.
Pour un groupe de 15 personnes
- Jack et le Haricot Magique (dès 5 ans) : Samedi 29 mars 2025 à 11h. Tarif adultes : 10€
Portée par un grand ensemble de cuivres de l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’adaptation par Édouard Signolet de Jack et le haricot magique aboutit à une version de théâtre musical réjouissante et conçue pour tous publics dès 5 ans. Jack et le haricot magique est une histoire bien connue de tous et dont les versions sont nombreuses. Mais si ce fameux conte anglais du XVIIIe siècle demeure anonyme, l’adaptation d’Édouard Signolet en élucide la sagesse ancienne : une quête qui nous parle d’enfance et des liens de l’attachement, de l’envie d’entreprendre et du goût du risque. Jouée et racontée par des comédiens-récitants, l’histoire tire ici sa couleur rutilante et bravache d’une partition arrangée pour 14 instruments dans l’esprit du brass band dont trompettes, trombones, cors et tubas, dirigée par David Guerrier. Les musiciens y interpréteront des extraits de compositeurs britanniques des XIXe et XXe siècles, Gustav Holst, Edward Elgar, ou Benjamin Britten. 100% British !
- Orchestre des Champs-Elysées : Ludwig van Beethoven (symphonie n°4 en si bémol majeur op.60 et symphonie n°7 en la majeur op.92) : Mardi 20 mai 2025 à 20h. Tarif adultes : 16€
Après s’être confronté la saison passée à la profondeur du Requiem de Mozart, l’Orchestre des Champs-Élysées est de retour pour une magistrale démonstration beethovénienne confiée à la baguette experte de Philippe Herreweghe. Créée en 1807, la Symphonie n°4 est une oeuvre pleine de charme, dont Schumann a déclaré qu’elle était, entre l’Héroïque et la célèbre Cinquième, « comme une mince fille de la Grèce entre deux géants nordiques » ! Malgré son introduction lente et inquiétante, le premier mouvement déborde de grâce, précédant un Adagio dont la mélodie, d’une inexprimable tendresse, subjugua Berlioz. Viennent ensuite un Scherzo énergique, tout en contrastes de nuances, suivi d’un Finale bouillonnant, en forme de mouvement perpétuel. Six années à peine plus tard, Beethoven connaissait avec sa Symphonie n°7 l’un des plus grands triomphes publics de sa carrière. Après un mouvement initial d’abord majestueux puis rythmiquement explosif, vient l’illustre Allegretto, admirable et obsédante marche qui s’orne peu à peu d’admirables contrechants. Enjoué, le Scherzo libère l’esprit de la danse bien qu’il cite une mélodie liturgique; quant au Finale, il est l’exemple même de la déflagration d’énergie de Beethoven : emporté par les timbales, l’orchestre se perd dans une ronde sauvage, que Wagner, qui était pourtant rarement impressionné, qualifia de formidable «Bacchanale».